Depuis l’été 2017, j’apprivoise le régime cétogène (ketogenic). Il existe amplement de littérature sur le sujet sur Internet et en librairie. Je n’ai donc pas l’intention de décrire en termes scientifiques les effets et bienfaits de cette approche alimentaire^[1].

Le plan bouffe cétogène que j’observe est un heureux mélange entre le régime Atkins et certaines théories nutritionnelles de Richard Béliveau au sujet des aliments contre le cancer. Le ratio des macronutriments quotidiens est pauvre en glucides (5%), modéré en protéines (15%) et riche en lipides (80%). L’avantage certain dans mon cas a été la stabilisation de mon humeur par un contrôle de la fluctuation de la glycémie dans le sang, et l’augmentation plus que significative de mon énergie physique et mentale. Autres avantages: la réduction des fringales, de l’envie de sucre et l’obligation de consommer des collations l’après-midi pour me donner un coup de pouce pour finir la journée de travail. Exit aussi la culpabilité de ne pas déjeuner. Dans ce style de vie, un jeun partiel est tout à fait acceptable, de la veille au soir au diner le lendemain. Bref écouter sa faim et son corps, sans se préoccuper de la balance.

Le fait de couper le sucre a de nombreux bienfaits reconnus au niveau de la prévention de certaines maladies, dont le cancer qui s’en nourrit (David Servan-Schreiber) et le diabète de type 2 (qui prévaut dans ma famille).

J’aurai l’occasion de vous partager les meilleures recettes que j’aurai réalisées, sans pub qui cache la liste des ingrédients, et en français s’il-vous-plait!

^[1] PS: comme je ne suis ni médecin, ni spécialiste des sciences de la santé, donnez-vous la peine de consulter ceux qui ont travaillé fort pour obtenir un diplôme dans ces domaines, avant d’adopter un nouveau régime alimentaire. Mon histoire personnelle n’est que cela: une histoire personnelle.